Shadow or Light for Clans ?
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« Plusieurs Clans, une même destinée » « A l'ombre des cerisiers se joue leur avenir... » « Entre l'ombre et la lumière, qui choisira la destinée des Clans ? »
 
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 Apaise un cœur, il t'en sera reconnaissant, fais-lui connaître la douleur, il ne t'oubliera pas. Ainsi, la souffrance rend éternel, je dois donc faire souffrir pour rester dans les âmes. || Tourment.

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Nuage Tourmenté




Messages : 2
Date d'inscription : 20/06/2015

Apaise un cœur, il t'en sera reconnaissant, fais-lui connaître la douleur, il ne t'oubliera pas. Ainsi, la souffrance rend éternel, je dois donc faire souffrir pour rester dans les âmes. || Tourment.  Empty
MessageSujet: Apaise un cœur, il t'en sera reconnaissant, fais-lui connaître la douleur, il ne t'oubliera pas. Ainsi, la souffrance rend éternel, je dois donc faire souffrir pour rester dans les âmes. || Tourment.    Apaise un cœur, il t'en sera reconnaissant, fais-lui connaître la douleur, il ne t'oubliera pas. Ainsi, la souffrance rend éternel, je dois donc faire souffrir pour rester dans les âmes. || Tourment.  Icon_minitimeLun 22 Juin - 15:35

Nuage Tourmenté
❝ Je suis le monstre, je suis la peur, la paix, la frayeur, mais surtout, je suis ce que vous avez faites de moi, alors ne vous en prenez qu'à vous-mêmes. ❝

   • NOM : Vous savez lire !
   • ÂGE : 8 lunes
   • SEXE : Masculin
   • CLAN : Orage
   • RANG : Apprenti-guérisseur
   • FAMILLE ÉVENTUELLE : Père ♦ Personnage de Waize.

   

PSEUDO: Ici  • ÂGE : XX ans • CODES DU RÈGLEMENT : Ici • PRÉSENCE : Ici
   
DESCRIPTION PHYSIQUE

Tu ne te vois pas toi, non, tu ne te vois pas et pourtant, tu sais que ta beauté est inexistante, que ce n’est que racontars, que légende depuis ta naissance, depuis les accidents. Personne n’est là. Personne ne peut te dire ce à quoi tu ressembles parce que personne ne t’approche gentiment, donc tu restes dans ta souffrance, dans ta solitude éternelle. Et tu te trouves là, perdu au milieu de nulle part, dans les territoires de tes rêves, et tu vois. Étrangement, tu vois. Tu as toujours vu dans tes rêves. Comme si là, tu n’avais jamais grandi. Mais tu ne vois pas ce à quoi tu ressembles en dehors de tes rêves, non. Mais tu sais.. on t’a déjà décrit. Tu sais que la moitié de ton visage, la partie droite, est complètement arrachée, et colorée d’une teinte rosâtre sombre. Tu n’as pas d’œil de ce côté pas plus que la moitié de ton museau, mais tu as toute ta gueule, heureusement, comment aurais-tu pu manger sinon ? On t’a dit que ton œil gauche n’est pas le plus beau. Au départ, il était bleu. D’un bleu magnifique, rendant jaloux les autres. Mais après avoir reçu les trois cicatrices, il s’était coloré d’une couleur rouge avait viré en noir. Son pelage est de plusieurs nuances. Le contour de son visage est d’un gris plutôt pâle qui cède à du gris plus foncés. Une longue bande gris foncé traverse le milieu de son dos jusqu’au milieu de sa queue avant de laisser place à du brun. Le côté gauche de son visage et la mince partie de droite toujours indemne est elle-aussi d’un brun plutôt foncé, mais ce brun laisse place au blanc total dans le haut de son visage. Le reste de son corps est totalement gris, gris pâle presque argenté, sauf sur le bas de ses pattes arrières qui sont grises foncées. Son dos est couturé de cicatrices profondes qui ne laissent place à du poil et demeurent rosâtres.

   
DESCRIPTION CARACTÈRE

Il y a la brume, il a le brouillard. Il y a le noir, l'obscurité et l'espoir, le désespoir. Il y a la vie et la mort, il y a un peu de tout et toi, tu es un peu de tout. Et tu es noir. Non pas ton apparence, quoi que ça, tu n'en as strictement aucune idée, mais ton cœur, il est noir. Il est de la couleur de la nuit qui n'est point éclairée par la Lune, de la nuit qui représente la mort et le désespoir, de cette nuit qui effraie les plus jeunes d'entre vous, les plus frêles également et parfois même les plus entraînés. Tu es ça, toi, et tu es volatile. La brume est toi au même titre que le brouillard, c'est ton âme, tes idées, tes choix, c'est toi. Tu es aussi peu présent que la brume, aussi peu fixe que le brouillard. Et tu es ça, tu es la nature et tout ce qui t'entoure, mais surtout, surtout, tu es ce que la vie à fait de toi, sans personnalité propre et pourtant avec cette personnalité bien forte, si forte, trop forte pour les autres. Tranchante. Destructrice. On te dit ça. On te murmure ça. Peut-être même serais-tu un traître aux yeux des autres, ou du moins te disait-on ça quand tu étais petit, chaton, mais à présent, plus personne ne t'accuse de trahison, parce que tu as choisi une voix ardue, mais nul ne sait à quel point elle sera difficile pour toi, mais ô combien passionnante. Parce que tout ce qui est compliqué se révèle être drôlement amusant, drôlement passionnant, drôlement étrange à la fois, avec toi qui as cette capacité de rendre tout ce qui te concerne étrange. À tourner tout dans la bizarrerie.  

Et peu importe ce que l'on te dit, tu demeures noir. À ce point. Tu es toujours la noirceur de ton âme. Cette âme volatile qui ne sait pas se poser, toujours ailleurs, toujours peu présente, te rendant quelque peu absent. Et maintenant, tu es là. Debout. Immobile. Ton regard dans le vie, l'air hagard et quelqu'un arrive un petit chaton. Et tu ne bougeas pas plus, parce que tu restais bien souvent immobile. Tu n'étais pas paresseux, ce n'était pas ça non... c'était bien plus profond, peut-être une habitude qu'est de demeurer aussi immobile, comme si on t'avait interdit de bouger. Mais ce n'était pas le cas. Sauf que tu demeurais néanmoins immobile, les yeux inexpressifs et pourtant... tu aurais dû avoir quelques expressions avec toutes les pensées qui te traversent. Parce que tu penses. Tu réfléchis et tu penses, sans jamais cesser même. Tu es comme tourmenté par toutes tes pensées.  Ton âme ne s'arrête jamais de fonctionner, tu ne t'arrêtas jamais de penser et parfois, tout cela ne devient plus muet, puisque tu parles. Tu parles longuement, tu exposes ton avis et tes stratégies logiques, mais pas forcément bien accueillies des autres chats, parce que tu penses trop, tu les pousses trop loin, mais n'est-ce pas ça qu'il faut faire ?

Selon toi. Mais la morale des autres ne constitue pas la tienne. Oh non, la morale des autres ne constitue pas la tienne, bien au contraire. Toi, tu es là. Tu n'hésiterais pas à bafouer le code du guerrier et eux y vouent une confiance aveugle. Toi, tu ne fais confiance qu'à toi-même, persuadé que les autres t'en veulent, que les autres veulent détruire ta vie et toutes tes tentatives, persuadé qu'ils savent tout et pourtant faisant en sorte qu'ils ne savent rien. Toi, tu es bien différent, avec tes moindres sursauts au moindre bruit, tes délires de persécution, tes impressions d'être observé constamment. Toi, tu n'es pas comme eux, avec ta façon de te croire suivi, de te croire observé, comme si ta médiocre vie comptait aux yeux des autres. Mais tu ne parviens pas à te raisonner, toi. Et tu parviens à les accuser par moment, de vouloir te voler le bonheur que tu n'as même pas. Tu ne leur fais pas confiance et ta parole préférée est de dire qu'on ne sait jamais. Et toi, tu es certain que les autres trempent tous dans la trahison. Même que tu veux ramasser des preuves pour le prouver aux autres. Tu es ainsi, il ne faut pas essayer de te changer.

On aurait pu croire que ton étrangeté s'arrêterait là, que ton Clan n'ait pas à t'endurer plus que ça, mais non, tout ne s'arrête pas là, ton cœur cache encore plus de secrets, encore plus de noirceur. Toi qui es supposé être l'intermédiaire entre le Clan des Étoiles et ton Clan, mais toi qui joues de cela pour fabriquer des signes, parfois, pour mener le Clan à des batailles inutiles. Toi qui es cruel, qui apprécies la souffrance, qui aimes entendre les gens gémir et toi qui manques de douceur alors que tu devrais soigner avec la plus grand amabilité tes camarades que tu ne parviens pas à apprécier et toi, toi qui n'es pas du tout agréable, bien trop sec, bien trop rancunier quand quelqu'un te blesse, bien qu'il faut y aller fort pour parvenir à te blesser, comme tu ne parviens pas à ressentir les sentiments correctement et toi, toi qui fais comme tu en as envie, sans considération envers qui que ce soit, pas même le meneur.  Et ton esprit qui rend tout tordu, ton raisonnement qu'on ne peut pas toujours comprendre, ta façon de tomber dans la lune, ta façon de vouloir tout détruire, tout anéantir, de faire souffrir comme toi tu as souffert, de venger ton cœur meurtri et noirci par la vie, tout ça. Tout ça te rend amèrement amer. Tout ça te rend dangereux et pourtant, tu parais si calme. Si paisible. Alors qu'en toi, c'est un tourment intérieur.

Il faut se méfier de l'eau qui dort.

Et tu veux rester dans les esprits, tu veux marquer, tu ne veux pas que l'on puisse t'oublier et par la même occasion, tu dois blesser. Voilà ce que tu te dis. Tu dois blesser parce qu'on n'oublie jamais quelqu'un qui nous a fait du mal, non, on n'oublie jamais cela. Ainsi, tu dois faire souffrir, apporter la souffrance autour de toi pour que ton existence, au-delà de ta vie sur terre, demeure éternelle dans la mémoire des chats, de mémoire de chat vivant.

Parce que faire souffrir rend éternel.    
L'HISTOIRE DE TON CHAT

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CODAGE PAR PUPPY SUR LG
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Apaise un cœur, il t'en sera reconnaissant, fais-lui connaître la douleur, il ne t'oubliera pas. Ainsi, la souffrance rend éternel, je dois donc faire souffrir pour rester dans les âmes. || Tourment.
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